ESPIKASSIONS (pardon bernadetteuuuuuuuuu)
Bon par où commencer :
J'appelle une première fois, je craque, il n'est que 13h45, il décroche, on se parle un peu, et me demande de le recontacter vers 14h, car il doit aller acheter son pain..........
Ce que je fais, c'est long à démarrer.............. puis l'échange se déclenche peu à peu, il avait du mal à dire les choses, vu ce qu'il avait entendu , je comprends aisément.
On a parlé plus d'une heure, sur ce que ce qu'il avait entendu et il a dû vraiment prendre sur lui pour m'en parler, moi j'ai fait du forcing, et encore il y a un truc qu'il n'a pas réussi à me dire. "ça sort pas".....................;
Au fil de la conversation, moi j'avoue que je me suis mise à pleurer un peu, lui "je ne veux pas te faire de mal, j'entends que tu es en larmes".
Les sujets cruciaux ont fait place à des sujets de la vie, puis au bout d'un moment,
"tu peux venir?"
Moi : argggggggggg suis pas habillée pas lavée
Lui pas grave.
Moi si si je prends ma douche et je viens, je te rappelle quand je suis prête.
Comme il habite à la campagne, il me fallait l'itinéraire.
Chose étrange, moi qui déteste les 4 voies de Rennes, là ça ne m'a posé aucun souci, j'ai trouvé facilement il m'avait tout très bien expliqué.
J'étais mal à l'aise, il l'a senti , je le lui ai dit, puis j'en ai reparlé, et lui m'a dit que c'était fini, qu'on en parlerai plus.
Et comme tous les couples, on est passés à autre chose. ^-^
Peu à peu mon mental s'est mis en stand bye, et tout est rentré dans l'ordre, on a parlé de l'avenir, lui comme moi, ne veut pas faire de projet, n'est pas prêt à ça.
Nous sommes entièrement d'accord dessus, ça tombe bien.
Puis est arrivée l'heure où je devais repartir, j'étais claquée, je n'avais rien dans le ventre depuis le pique nique de dimanche.
Je suis arrivée juste à temps pour repartir chanter.
Avec vite fait une tranche de pain complet pour me caler.
Il m'avait dit, "je te rappelle, si je viens te rejoindre ce soir, et même si je ne viens pas. Moi je lui dis que je ne téléphonerai pas pour le laisser dormir, il était complètement claqué lui aussi.
Les nerfs tombaient.
"si je ne te rappelle pas c'est que je dors"
Heureusement qu'il a pu dormir et ne pas m'appeler, car je suis rentrée tard.
Bref, il est posé, réaliste, et simple. Et comme vous me l'aviez dit, il a su faire la part des choses entre son meilleur ami, et moi.
Je suis apaisée, mais complètement claquée, et je dois aller au crous porter le dossier de bourse de Rhalph qui est en exams, et continuer les docs pour l'avocat.
Et................................... vaquer aux tâches quotidiennes qui sont restées en stand bye.
Mais cela va aller, je vais mieux.
Quelle histoire !
Maintenant , place à la vie, on prendra ce qu'elle nous donnera peu à peu, et on verra bien.
Un gros bisous à tous ,
je m'en vais raconter ma soirée ailleurs.
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